•  Tiken Jah Fakoly, sur Sing Sing, et en vidéo !

    Tiken Jah Fakoly en concert le 23 Octobre dernier, c’ était un concert Sing Sing bien sûr !


    Le 23 Octobre 2005, Sing Sing recevait sous le chapiteau Noir et Rouge Tiken Jah Fakoli, Oshen et Bertrand Belin.

    Retrouvez, en video , un extrait du concert de Tiken Jah Fakoly :

    voir la vidéo ou sur dailymotion


  •  ciné-travail (2eme prise)


    Les « Césars » peu surprenants cette année, encore que, « De battre , mon cœur s’est arrêté » de Jacques Audiard ait obtenu 8 trophées dont celui de « Meilleur Film », de « Meilleur Réalisateur ».

    Jacques Audiard est un réalisateur très discret, excellent, nous avons surtout en tête le souvenir du père, Michel Audiard et ses dialogues percutants avec Jean Gabin.

    Ex : « Quand les cons seront sur orbite, t’a pas fini de tourner ! »

    Ca suffit pour les paillettes et les récompenses,- souvent méritées- passons aux choses sérieuses.

    Le cinéma et le travail.

    2 films en salle ce mois-ci :

    « Ils ne mourraient pas tous, mais tous étaient frappés… »

    « Sauf le respect que je vous dois »

    Le premier dont le titre est emprunté à un fable de La Fontaine « Les animaux malades de la peste » est de Sophie Bruneau et J-Marc Roudil , filme 25 patients au cours d’une consultation réservée à la souffrance au travail, mise en place dès 1995 dans les hôpitaux de Garches, Créteil et Nanterre, par la psychologue Marie Pézé. Ces malades sont détruits face à ce qu’il leur arrive.

    Le second, traite du suicide sur le lieu de travail et de l’absence totale de réaction qu’il provoque. La réalisatrice, Fabienne Godet, fille de paysan de la région d’Angers, dit :

    « tous les acteurs se sont engagés derrière moi, nous avions le sentiment de faire un film particulier dont les financiers, au fond, n’avaient pas une folle envie. »

    Avant même leur sortie en salle, les 2 films sont très demandés dans les grandes écoles et les universités. Les cinéastes entament un tour de France de conférences et de débats.

    Ils ont inspiré les travaux du chercheur Christophe Dejours dont le laboratoire au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM) est le seul a ne pas avoir déserté la question du travail.

    Rappelons en conclusion le film de Pierre Carles « Attention, danger travail ! » où le réalisateur filme des chômeurs heureux de l’être.

    « on se rend maintenant très bien compte à l’aspect du travail- c’est-à-dire de ce dur labeur du matin au soir- que c’est là la meilleure police, qu’elle tient chacun en bride et qu’elle s’entend vigoureusement à entraver le développement de la raison, des désirs, du goût de l’indépendance » (Nietzsche)


  •  Soirée HURLEMENTS D’LEO au 1929 à Rennes

    Dans la perspectivr du prochain album des HURLEMENTS D’LEO « Temps Suspendu » (sortie le 13 mars)

    Le 24 février au 1929

    A cette occasion, le groupe offre sa tournée !!

    petites surprises en perspective (possibilité de session accoustique, karaoké etc..)

    RDV à 19h30 au 1929 : 13 Rue Saint Michel à Rennes

    Il est des voyages qui ne se racontent pas en cartes postales, des périples qui ne se calculent pas en kilomètres. L’aventure des Hurlements d’Léo s’accommode mal de dates, chiffres et statistiques : dix ans d’existence, quatre albums studio, deux disques en collectif avec les Ogres de Barback (« Un air, deux familles>) et les 17 Hippies (« Hardcore Trobadors »), des tournées de globe-trotters, l’Afrique, l’Australie, l’Europe de l’Est, le Japon, la Russie, le Moyen-Orient. Rien à faire. Les Hurlements d’Léo, ce nest pas juste une histoire : c’est une aventure.

    Cette année, HDL chahute son monde intérieur, brûle ses carcans et se montre peut-être plus vrai que jamais. Au sortir d’un long break fin 2004, sorte de post-partum d’après une tournée épique (dont témoigne un disque live), les Hurlements ont rallumé la mèche d’un projet d’album. Chacun étant arrivé avec l’ambition d’affirmer ses idées et ses envies, le pique-nique musical a vite pris la tournure d’un festin artistique foisonnant d’intentions et d’inventions.

    Tous les musiciens de la troupe ont su mettre leur sensibilité au service des propositions des autres, glorifiant ainsi lidée de partage et de réciprocité. Et plus que jamais, les partis pris ont été ainsi magnifiés, jamais noyés dans le bouillon dun mélange. Avec « Titre de lalbum », les Hurlements d’Léo ont parfois baissé le tempo mais jamais la garde : comme pour faire la nique aux poseurs détiquettes, le groupe impose la variété de ses couleurs musicales comme un genre à part, unique.

    Réunis dans un studio planqué dans la campagne bordelaise, les Hurlements ont fait éclore treize nouvelles chansons, enregistrées par Reptile (producteur de Sergent Garcia, des Ludwig Von 88, du premier Suprême NTM et d’Assassin .). « Pour la première fois, on a construit des morceaux sans se demander comment on pourrait les jouer sur scène » confiait alors un des membres du groupe. Cela sentend et tout le monde y gagne : de « L’addiction » à « Fleurs du temps », les Hurlements se lâchent et donnent à leur musique un relief nouveau. Même dans ses moments d’accalmie, l’énergie y est plus rock que jamais, plus pertinente, les convictions musicales plus assumées. « Im a freak » déroule une fresque sonore à la belle arrogance ; « Mon spectacle débile » déborde dune puissance et d’une rage qui promettent d’en faire un moment de bravoure des concerts à venir. Les cuivres, qui marquent de leur sceau la plupart des chansons, transcendent leurs fonctions attendues pour s’inventer de plus vastes horizons. Quand les guitares montrent les dents, c’est avec un mordant inédit (« Vipères au poing »). Et quand l’intimité se fait, elle se drape d’une dignité et d’une maturité qui forcent le respect.

    Ponctuellement soutenus par les voix de Romain Humeau (Eiffel), Kiki Sauer (17 Hippies) ou de Perrine Fifadji (ASPO), les textes délaissent les portraits du début pour devenir le déversoir de la poésie d’Erwan et Kebous, plus évocatrice qu’explicite. Ouvrez grands vos coeurs et vos oreilles ; les Hurlements sont de retour, avec leur album le plus abouti, le plus riche, celui qui leur ressemble le plus. Les hauts d’Léo, en somme.


  •  ciné-travail

    Dans cette période de paillettes et r ?compenses (souvent justifiées),


    signalons 3 films au sujet du TRAVAIL :
    « Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés » ( d’après La Fontaine), documentaire de Sophie Bruneau et Jean MarcRoudil
    « Sauf le respect que je vous dois « premier long métrage de Fabienne Godet.
    Harcèlement,maladie ,usure et parfois la mort au bout : ATTENTION TRAVAIL DANGER !(Pierre Carles)

    Aux spectateurs de suivre ces jeunes cinéastes.

    « Il fallait que je montre ce mal que tout le monde cache mais dont nous sommes tous responsables. Que nous pourrions tous changer si nous le décidions » (SOPHIE BRUNEAU)


  •  Soirée de soutien à l’Appel d’Airs de Trébry

    Voir en ligne : L’appel d’airs

    Vendredi 17 février : CONCERT DE SOUTIEN

    Vous avez besoin de l’Appel d’Airs… l’Appel d’Airs à besoin de vous !…

    Une soirée à 10€ tout ronds pour venir nous connaître, soutenir notre action, et vous remplir les oreilles et le coeur de bonne musique… Des artistes de chez nous, de renommée nationale, internationale et locale (s’il vous plaît !) nous préparent une soirée EXCEPTIONNELLE, EN EXCLUSIVITE et bénévollement POUR NOUS, RIEN POUR NOUS… (et pour vous aussi !!!…) :

    En entrée, un CABARET avec :
    - Jean-Marc Le Coq et Raphaelle Garnier (« Nid de Coucou »)
    - Yvon Rouget, Gildas Chasseboeuf et René Boisard (« La Mirlitantouille »)
    - Adèle (de « Adèle et Léon »)
    - Raoul (« Ouf la Puce »), Gérard Le Louet (« Swing Bazar »)

    … et peut-être d’autres surprises…

    En exclu : Jean-Marc Le Coq, Gildas Chasseboeuf et René Boisard nous proposeront leur spectacle « Cargo » crée pour le festival « Le Grand Soufflet » à Rennes : swing et musiques traditionnelles (Irlande, Europe de l’Est, Louisiane, Québec, Budapest, Turquie et du Mozart…).

    Suivi de : Thierry Svhan (du groupe « Svhan » et ancien accordéoniste de « Pigalle ») accompagné par Manu à la batterie (que les adeptes des boeufs du dimanche soir « au Moulin » connaissent bien).

    Et en dessert : les « Craquelins de Plumaudan » !!!…

    A partir de 20h, 10€ à Tréby (22, prés de Lamballe)